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Pour une autre voie - Stosswihr 2014
Pour une autre voie - Stosswihr 2014
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Ce blog, créé à l'occasion des élections municipales de 2014 par la liste "Pour une autre voie" et avait pour objectif l'information des habitants sur la vie municipale a STOSSWIHR, et au delà, d'apporter des compléments d'information sur l'activité de la Communauté des Communes de la Vallée de Munster, dont STOSSWIHR est la deuxième Commune membre sur le plan démographique, après MUNSTER.

L'auteur des publications est Jean Paul OSTERMANN, alors unique conseiller municipal d'opposition, de la liste "Pour une autre voie".

Suite aux élections municipales intermédiaires de 2017, après le décès du Maire Louis SCHERMESSER, et la démission collective de la liste "AUTRE VOIE 2017" - 45% - des voix, qui a suivi, ce blog est en mode "veilleuse".

Jean Paul OSTERMANN, aujourd'hui retraité est ancien  directeur financier de la Ville de COLMAR (2002 - 2013). Avant il  a exercé   les fonctions de Directeur Général des Services à la Mairie   d'INGERSHEIM (1992 - 2001), et de Secrétaire General de la Mairie de STOSSWIHR (1980 - 1992).



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Directeur de la publication : Jean Paul OSTERMANN

7 février 2016

REPRISE

 

Après une interruption de 15 jours, pour cause de vacances au SENEGAL à l'invitation d'un couple de la vallée qui y possède une résidence, il est temps de reprendre les publications sur le blog. L'actualité il est vrai ne manque pas.

 

SENEGAL:

Les contrastes avec la France et les pays soit disant développés et "civilisés" sont édifiants à tous les niveaux. La chaleur en cette période de l'année est élevée - 40° à midi -, mais néanmoins supportable, grâce à une brise maritime liée à la proximité de l'océan. La pauvreté de la population est palpable, habitations très sommaires dans les villes, équipements publics à minima, parc de voitures très ancien constitué principalement de Peugeot et Renault qui circulaient chez nous il y a 15, 20 ans. Et il faut le dire l'état général de propreté des rues et places publiques, des ports de pêche, des marchés, est plus que douteux.... Dans la brousse, subsistent bien des villages de cases au toit de chaume, sans électricité, ni eau courante où les familles avec de très nombreux enfants vivent en communautés très soudées. Les enfants y sont malgré tout le plus souvent scolarisés. Plus d'un instituteur français pourrait rêver d'enseigner à un tel public. Les enfants que nous avons visités dans une famille dans la brousse sont sages et savent encore ce que c'est que l'autorité parentale. Les parents ne sont pas encore tentés comme chez nous d'élever leurs progénitures dans l'illusion du confort et de la facilité, en leur passant tous les caprices. Les enfants ne rêvent que d'une seule chose : venir en FRANCE, et les propositions que nous avons recueillies pour les emmener avec nous furent nombreuses.

Le pays tire des ressources essentiellement de la pêche, de l'agriculture et du tourisme. Cette dernière activité est en recul, face aux menaces terroristes qui pèsent maintenant également sur le pays.

La nourriture est à base de poisson, de poulet, de viande de zébu, de semoule et de riz.

Bref, une visite dans ce pays vaut le détour et permet de corriger bien des clichés. Quand ont voit les indigènes piocher sous 40° entre midi et 14 heures, sans pose déjeuner, pour poser des bordures de trottoir, pour un salaire de misère, il faut bien accepter de considérer qu'ils ne sont pas tous des fainéants, comme on tente parfois de nous le faire croire.

Évidemment les occidentaux vivent dans de belles résidences, bien entretenues. Quelques uns, une minorité d'hommes ou femmes, et c'est choquant, pratiquent le tourisme sexuel avec les jeunes indigènes sans ressources. D'autres, à l'image du couple qui nous a hébergé, investissent leur argent pour faire creuser des puits, et venir en aide aux familles en mettant à leur disposition des terrains clos pour produire leurs légumes.

 

CONSEIL MUNICIPAL DE STOSSWIHR

Quand on rentre du SENEGAL,

Il  faut bien renouer avec les réalités de notre village et de la vallée où les dossiers sont nombreux :

- la maison du Fromage, qui, chacun le sait maintenant, est un fiasco incroyable, une gabegie de l'argent public

- l'ALTENBERG pour laquelle toute l'armada d'élus et d'institutions ne trouve pas de solutions, si toutefois ces solutions ont été recherchées

- la mutualisation ou la fusion des Communes pour endiguer la baisse permanente des ressources

- l'élaboration d'un schéma directeur de développement pour la Vallée

- le plan intercommunal d'urbanisme, etc, etc.

Il est également  difficile de continuer à siéger au conseil municipal de Stosswihr où les débats sont la plupart du temps morts nés, et font place à des attaques personnelles stériles. Dans ce contexte j'ai pris la décision de m'abstenir de participer aux manifestations festives,  mais, bien évidemment, je continuerai à assumer mes responsabilités en commissions des finances, ou celle des travaux, et au Conseil Municipal.

 

REVUE DE PRESSE

Dans les DNA d'aujourd'hui il est question une nouvelle fois de la ligne de chemin de fer COLMAR-METZERAL,  de l'augmentation des impôts départementaux et du RSA (Revenu social d'activité)

En ce qui concerne le train, il faut saluer l'opiniâtreté des défenseurs de cette ligne. Pourtant elle est menacée de fermeture, malgré un plébiscite pour son maintien auprès des personnes consultées lors d'un sondage. Bien des articles ont été écrits dans les quotidiens locaux sur le sujet, mais personne n'a jamais évoqué l'attractivité de cette ligne. Ancien des transports en commun de l'ex Régie Municipale de Colmar, j'ai toujours appris qu'un service de transport en commun n'est "viable", qu'à condition que la ligne soit attractive. A savoir, une proximité du service, des wagons confortables et une bonne fréquence de desserte. Ce n'est malheureusement pas le cas de la ligne COLMAR-METZERAL, qui faut-il le rappeler, à été construite par les industriels HARTMANN, essentiellement pour le transport de marchandises et dont les gares sont, pour la plupart excentrées par rapport aux villages desservis.

Aussi cette ligne est-elle vraisemblablement condamnée purement et simplement à être fermée, faute de voyageurs. C'est dommage.

Il en serait tout autrement avec un tramway qui desservirait les villages avec une bonne fréquence de passage. Évidemment j'entends déjà hurler mes détracteurs qui m'opposeront la non faisabilité d'un tel équipement, compte tenu de son coût faramineux.

Il faudrait faire l'étude, prendre en compte les millions engloutis par la REGION ALSACE pour la rénovation de la ligne, et tenir compte également de tous ces foyers de la Vallée qui seraient sans doute prêts à acquitter plus d'impôts et de payer un abonnement pour prendre des transports en commun attractifs, en renonçant tout simplement à leur voiture. En général, chaque foyer possède au moins deux voitures, une de trop avec un service de transport en commun attractif. Pour ceux qui ne sont pas convaincus, observez le serpent lumineux de voitures qui circulent matin et soir entre COLMAR et la Vallée, avec souvent un seul conducteur à bord. Toutes ces voitures représentent également un coût faramineux et sont de surcroît source de pollution. Pas sûr que l'étude serait défavorable au tramway.

L'augmentation des impôts départementaux de 0.7 points, plutôt 5,61 % (ancien taux :12.47 %, nouveau taux : 13.17 %) , cela est plus compréhensible par le commun des mortels, est selon le langage aseptisé de nos politiques, insensible pour les foyers fiscaux du Département. Sauf, que ces 5.61 %, se rajoutent aux 5 % qui seront sans doute votés par la COM COM de MUNSTER, qui a besoin de financement pour absorber les pertes de la Maison du Fromage. A cela risque  de se rajouter vraisemblablement une augmentation par le Conseil Municipal de STOSSWIHR, vu la situation désastreuse de ses finances, sans parler des majorations fiscales qui seront décrétées par la Grande Région.

Non Monsieur le Président du Conseil Départemental, l'augmentation ne sera pas indolore. Et ne la mettez pas svp seulement sur le compte de l'Etat qui baisse les dotations de l'Etat aux collectivités territoriales, asphyxié financièrement lui aussi par une dette astronomique de 2 300 Milliards d'€.

Il serait plus que temps que vous réduisiez enfin le millefeuille administratif, (Communes, Communautés des Communes et d'Agglomération, Métropoles, Départements, Région) ,les indemnités servies aux élus, et que vous fassiez cesser le cumul des mandats, au lieu de toujours taxer le contribuable. Vous êtes certes un jeune Député qui n'était pas aux affaires quand les déficits se sont creusés. Cependant vos amis politiques y étaient et vous les soutenez !

Monsieur le Président, l'environnement économique favorable qui permettrait à nos entreprises de produire les richesses dont nous avons un besoin de plus en plus criant, ne peut pas continuer à être encombré d'une multitude de collectivités territoriales qui contribuent à scléroser le système. Il faut libérer les énergies, créer le contexte favorable au développement des entreprises, en réduisant les charges qui pèsent sur les ménages et les entreprises.

.Je me réjouis par contre, Monsieur le Président, de constater une communauté de pensée dans votre initative de subordonner le RSA à une activité au profit de la collectivité. C’est une idée  qui rejoint l’esprit d’une proposition de notre liste « Pour une autre voie 2014 » à STOSSWIHR, de proposer des heures de travail aux plus démunis, au service de la communauté, contre  rémunération. A cet égard, les Communes sont les mieux placées, à mon sens, pour relayer cette disposition sur le terrain.

En conclusion, je vous invite, Monsieur le Président, vous qui faites parte de cette jeune génération d’hommes politiques, à nous convaincre que le changement est en route !

 JPO/FW

 

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Commentaires
M
vrai, d'autant plus que le président du conseil départemental a de bonnes idées. N'est-ce pas lui qui avait déjà fait la une avec l'idée que si une personne gagnait des millions devait partager son gain avec les autres! comment nos élus peuvent être crédibles. C'est le comportement de personnes qui s'enrichissent en recevant des indemnités de l'Etat, en n'ayant aucune idée pour sortir de cette situation qui nous entraîne inévitablement vers le marasme, et vers un soulèvement, le 13 juillet 1789 n'est pas loin.
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J
J'ai eu un bref moment de consternation quand j'ai lu que J.P.Ostermann parlait de communauté de pensée au sujet de la décision du Conseil Départemental de subordonner le versement du RSA à une activité au profit de la communauté!<br /> <br /> mais, ouf !, en lisant la suite, j'ai vu que la communauté d'idée n'existe pas en fait, puisque J.P.Ostermann parle d'une activité rémunérée, ce qui est loin de l'idée du Conseil Départemental qui, lui, parle de bénévolat !<br /> <br /> <br /> <br /> OK pour qu'on propose aux personnes bénéficiaires du RSA une activité rémunérée, cotisée, ouvrant droit à la retraite etc..<br /> <br /> C'est d'ailleurs ce que souhaite la majorité d'entre eux, sachant qu'il existe parmi les bénéficiaires du RSA des personnes qui ont un "profil" très hétérogène (ex. parmi eux, on trouve par exemple des personnes qui sont dans le champ du handicap, qui ne peuvent cependant pas prétendre à l'allocation aux personnes handicapées du fait d'un taux d'incapacité inférieur à 80 % etc..).<br /> <br /> <br /> <br /> Les commentaires (ex. courriers des lecteurs dans la presse) montrent que la<br /> <br /> décision du Conseil Départemental a été reçue comme ayant comme but de faire un peu travailler ces profiteurs de bénéficiaires de minimas sociaux installés dans l'assistanat: un autre état d'esprit aurait inspiré à nos élus de prendre en charge les cotisations sociales liées à cette activité obligatoire ou de soutenir les entreprises d'insertion (dont certaines ont été amenées à mettre la clef sous le paillasson sur les dernières décennies faute de soutien des Collectivités et de l'Etat).
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N
Cette démocratie est une imposture<br /> <br /> <br /> <br /> https://www.youtube.com/watch?time_continue=252&v=fiSRiYXYsEQ
Répondre
N
Résister ou obéir?<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> En résumé, https://www.youtube.com/watch?v=mxf7G0WEJ20<br /> <br /> <br /> <br /> Stanley Milgram est certainement le plus connu de tous les psychologues sociaux. Son nom reste en effet attaché à ce qui constitue, depuis cinquante ans, l’une des plus célèbres expériences de psychologie sur la soumission à l’autorité.<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Au début des années 1960, Stanley Milgram élabore une expérience qui fera date dans l’histoire de la psychologie, et dont les enjeux théoriques et sociétaux n’ont rien perdu de leur valeur aujourd’hui encore. Des individus ordinaires sont recrutés par voie de presse pour participer à ce qu’ils croient être une simple recherche sur la mémoire. <br /> <br /> <br /> <br /> En réalité, ils se retrouvent en situation de faire apprendre une liste de mots à une autre personne, d’apparence ordinaire également, et qu’ils ne connaissent pas. Cette personne, qui est en fait un complice de S. Milgram, se tient dans une autre pièce, sanglée sur une chaise et bardée d’électrodes, et commet des erreurs volontaires lors de l’apprentissage de mots. Pour chaque erreur commise, celui qui tient le rôle du professeur doit expédier un choc électrique à son élève. <br /> <br /> <br /> <br /> La décharge augmente au fil des erreurs pour atteindre 450 volts au final. Tout est fait pour susciter une angoisse terrifiante, palpable dans les enregistrements de cette époque : la victime pousse des cris de douleur, et l’expérimentateur reste derrière le professeur, figure d’autorité, en l’exhortant invariablement à continuer jusqu’à ce que l’élève sache parfaitement la liste. <br /> <br /> <br /> <br /> Bien entendu, tout cela est factice puisqu’aucun choc n’est reçu par l’élève, et que ses protestations et cris de douleur proviennent d’une bande-son. Alors que S. Milgram s’attendait à obtenir de la désobéissance, les résultats sont totalement contre-intuitifs : 65 % des sujets de l’expérience vont jusqu’au bout, en administrant un choc de 450 volts à l’élève. <br /> <br /> <br /> <br /> C’est là l’autre raison de la célébrité et de la portée de cette expérience : deux personnes sur trois ont été capables de produire un comportement aussi grave, pour une justification aussi futile. Des sujets ordinaires peuvent donc se comporter en bourreau, dès lors qu’ils sont soumis à une autorité.<br /> <br /> <br /> <br /> De l’état autonome à celui d’agent exécutif.<br /> <br /> <br /> <br /> De tels résultats bouleversent la communauté scientifique et la société civile. Le premier réflexe est d’essayer d’identifier les biais expérimentaux possibles, mais les multiples réplications de cette expérience, dans de nombreux autres pays, montreront que cette capacité à obéir à une autorité légitime semble se retrouver dans de multiples cultures, et dans des proportions sensiblement identiques. <br /> <br /> <br /> <br /> Le second réflexe est d’invoquer la responsabilité des acteurs eux-mêmes, en invoquant la personnalité des sujets de l’expérience : des sanguinaires, des pervers, des abrutis seuls capables de commettre un tel acte. Or, S. Milgram montrera que ce n’était pas le cas, ce qui constituera le troisième grand enseignement de son paradigme. <br /> <br /> <br /> <br /> En effet, à l’aide de variantes expérimentales d’une ingéniosité simple mais implacable, S. Milgram prouve qu’un tel comportement d’obéissance provient du contexte dans lequel l’individu se retrouve placé. En effet, lorsque l’autorité se retrouve à distance ou lorsqu’elle perd de sa légitimité, le taux d’obéissance diminue. A contrario, lorsque la légitimité de l’autorité est forte, lorsque la victime est faiblement identifiable ou que le sujet se retrouve simple exécutant dans un groupe docile, ce taux d’obéissance augmente. <br /> <br /> <br /> <br /> Pour S. Milgram, la capacité à obéir de l’être humain moderne résulterait du fait que le contexte le placerait en situation d’état « agentique » : celui qui incarne le tortionnaire ne se percevrait plus comme quelqu’un agissant de manière autonome, mais comme un simple agent de l’autorité, par laquelle il accepterait d’être contrôlé. Il agit en considérant que sa responsabilité individuelle n’est pas engagée. <br /> <br /> <br /> <br /> Ce passage de l’état autonome, où l’individu se perçoit comme l’auteur, le responsable de ses actes, à celui d’état agentique, où la personne ne se perçoit plus que comme l’agent exécutif d’une autorité, serait obtenu par le contexte expérimental.<br /> <br /> <br /> <br /> Une question actuelle<br /> <br /> <br /> <br /> Là encore, les résultats de S. Milgram donneront une validité à cette théorie dans la mesure où les variables contextuelles qui ont eu le plus d’impact sur ce comportement d’obéissance, étaient celles manipulant la légitimité de l’autorité, et le degré de proximité physique entre cette dernière et le sujet.<br /> <br /> <br /> <br /> Ce travail de recherche et les résultats qui en résultent sont l’œuvre majeure de S. Milgram, décédé prématurément à l’âge de 51 ans. Ce paradigme, vieux maintenant de cinquante ans, conserve toute sa valeur théorique. J<br /> <br /> <br /> <br /> Jerry M. Burger, de l’université de Santa Clara en Californie, a obtenu les mêmes résultats en répliquant l’expérience en… décembre 2006. La capacité d’obéissance à l’autorité chez l’homme moderne n’a, semble-t-il, rien perdu de son actualité.
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N
Merci Jean Paul,<br /> <br /> <br /> <br /> Afrique, la vérité,<br /> <br /> <br /> <br /> MALLENCE BART WILLIAMS - SUR LE PILLAGE DES RESSOURCES AFRICAINES PAR L'OCCIDENT<br /> <br /> <br /> <br /> https://www.youtube.com/watch?v=nrOj90elXuQ<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> -------<br /> <br /> <br /> <br /> Agbogbloshie est une banlieue d'Accra au Ghana, connue pour être une destination légale et illégale pour les déchets d'équipements électriques et électroniques en provenance de pays industrialisés. Agbogbloshie a également fait l'objet de plusieurs documentaires montrant les ravages sur la population et surtout sur les enfants.<br /> <br /> <br /> <br /> -------<br /> <br /> <br /> <br /> Le coltan, métal sanglant dans nos téléphones.<br /> <br /> <br /> <br /> En savoir plus sur http://www.consoglobe.com/coltan-metal-sanglant-dans-telephones-cg#Av6AxU7E2DokHQDj.99<br /> <br /> <br /> <br /> -------<br /> <br /> <br /> <br /> Mangez du chocolat sans l’amertume du travail des enfants.<br /> <br /> <br /> <br /> 1 million d’enfants exploités et en danger en Afrique de l’Ouest.<br /> <br /> <br /> <br /> En savoir plus sur http://www.consoglobe.com/chocolat-travail-des-enfants-cg#36oVoclHIArb2pJM.99<br /> <br /> <br /> <br /> -------<br /> <br /> <br /> <br /> La France a-t-elle, derrière son intervention au Mali, des intérêts économiques à protéger dans la région ? C'est ce qu'affirme Stéphane Lhomme, directeur de l'Observatoire du nucléaire, selon qui l'entrée en guerre de Paris vise directement à "sécuriser l'approvisionnement des centrales françaises en uranium : ce dernier est extrait dans les mines du nord du Niger, zone désertique seulement séparée du Mali… par une ligne sur les cartes géographiques".<br /> <br /> <br /> <br /> http://www.leblogfinance.com/2015/08/mali-la-strategie-du-chaos-pour-la-main-mise-de-luranium-du-gaz-et-du-petrole.html<br /> <br /> <br /> <br /> -------<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Soyez le changement que vous voulez voir dans le monde », Gandhi<br /> <br /> <br /> <br /> <br /> <br /> Bien a vous,
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